FALLAIT PAS LE DIRE

Je mh’excuse de ne pas être d’accord avec la tendance générale… très belle intervention des acteurs mais cette pièce m’a fait dormir et j’ai poussé un ouf de soulagement lorsqu’elle s’est terminée…. C’est de la masturbation intellectuelle pour bobos des villes… revenez sur terre !

J'ai adoré ce bonbon fondant ,magnifique interprétation. BRAVO à c'est partenaire au théâtre et dans la vue. Pour ceux qui ne l'ont pas vue regarder c'est truculent. MERCI

Pièce vue au théâtre de Noisy-le-Grand. Très drôle ; le temps passe très vite ! Les sujets d'activité sont abordés avec plein d'humour. Un moment très agréable

Ecoutez bien ! Si l'on va voir cette pièce en couple, de trois choses l'une : dans l'ordre de probabilité, soit on est inconscient, soit on assume tout, soit on est irréprochable. Faut le dire vite car notre couple bien aimé a justement quelques reproches à déclarer, non pas qu'il y ait une mauvaise entente entre Pierre Arditi et Evelyne Bouix, mais plutôt parce qu'il y a une trop grande écoute... Paradoxal ? Certainement pas. L'idée est au contraire d'une grande modernité, la parole apprenant à se libérer d'une bouche qui refusait parfois de la laisser prendre l'air. Quand on peut tout se dire, tout peut être dit. Enfin, ça, c'est la théorie ; dans la pratique, est-ce qu'on en est bien sûr ? ... Contre vents et marées, au nom d'une expression publique dans la sphère intime, voici une série de thèmes et de répliques qui apprendront à bien faire la différence entre la pensée brute et la façon de l'exprimer, qui a le choix entre l'être aussi ou bien s'enrober d'un gant de velours, plus délicat et plus doux au toucher, surtout quand on le reçoit au visage. Duel ou plutôt joute verbale, quelques malentendus qui ne tombent pas dans l'oreille d'un sourd, mais jamais d'agressivité gratuite. Souhaitons que leur relation soit aussi sincère et douce à la ville...

Rien d'intelligent, rien d'intelligible. Consternant, navrant. Texte insipide sans intérêt. Le jeu d'Arditi avec ses silences inexplicables (il doit écouter son écho). Aucun second degré, aucune présence, tout au niveau d'une mauvaise discussion de couple faite de clichés inutiles et des préjugés insupportables sur les serveurs, les femmes, l'argent, le wokisme... Nous avons même eu droit à une improvisation sur Macron (pas drôle) et sommes partis avant la fin sans comprendre pourquoi l'on riait à tant de platitude, c'est inquiétant ! Seul le décor de la pièce présente un intérêt.... Quel dommage une telle "production" dans un si beau théâtre...