Chargement ...
ORCHESTRE DE LA GARDE REPUBLICAINE
DIRECTION DE FRANCOIS BOULANGER, ADAM LALOUM AU PIANO
Informations
-
Adresse
THÉÂTRE DES CHAMPS ELYSEES
Paris 75008 Localiser ce lieu
Ce spectacle n’est plus disponible
-
Adresse
THÉÂTRE DES CHAMPS ELYSEES
Paris 75008 Localiser ce lieu
Ce spectacle n’est plus disponible
Présentation
De Brahms à Dvorák, un voyage de grande ampleur par l’Orchestre de la Garde républicaine et Adam Laloum.
Brahms Concerto pour piano n° 2 op. 83
Dvorák Symphonie n° 9 op. 95 « Du Nouveau Monde »
Créé en 1881 après quatre ans d’efforts, le concerto pour piano n° 2 de Brahms est l’un des sommets de la littérature pianistique. La structure en quatre parties indique l’ambition de la pièce : rien moins qu’une symphonie avec piano. En dépit de son ampleur, l’œuvre s’articule en une seule et même ligne de la première à la dernière note, qui devrait enchanter le chef François Boulanger et l’immense pianiste Adam Laloum. Pour poursuivre la soirée, l’Orchestre de la Garde Républicaine interprète l’une des œuvres les plus populaires du répertoire orchestral, la Symphonie dite « Du Nouveau Monde » de Dvorák. Ode euphorisante aux grands espaces américains, la pièce fut composée, alors que le compositeur tchèque était directeur du Conservatoire de New York. On se retrouve emporté d’un negro-spiritual à une légende amérindienne, jusqu’à l’irrésistible tourbillon du mouvement final.
Voir plus
Brahms Concerto pour piano n° 2 op. 83
Dvorák Symphonie n° 9 op. 95 « Du Nouveau Monde »
Créé en 1881 après quatre ans d’efforts, le concerto pour piano n° 2 de Brahms est l’un des sommets de la littérature pianistique. La structure en quatre parties indique l’ambition de la pièce : rien moins qu’une symphonie avec piano. En dépit de son ampleur, l’œuvre s’articule en une seule et même ligne de la première à la dernière note, qui devrait enchanter le chef François Boulanger et l’immense pianiste Adam Laloum. Pour poursuivre la soirée, l’Orchestre de la Garde Républicaine interprète l’une des œuvres les plus populaires du répertoire orchestral, la Symphonie dite « Du Nouveau Monde » de Dvorák. Ode euphorisante aux grands espaces américains, la pièce fut composée, alors que le compositeur tchèque était directeur du Conservatoire de New York. On se retrouve emporté d’un negro-spiritual à une légende amérindienne, jusqu’à l’irrésistible tourbillon du mouvement final.
Photos & Vidéos
