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FABRIZIO FAVALE - CIRCEO
Informations
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Durée
1 heure
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Adresse
Chaillot – Théâtre national de la Danse
Paris 75016 Localiser ce lieu
Ce spectacle n’est plus disponible
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Durée
1 heure
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Adresse
Chaillot – Théâtre national de la Danse
Paris 75016 Localiser ce lieu
Ce spectacle n’est plus disponible
Présentation
Le prodige italien, méconnu en France, présente à Chaillot la première hexagonale de Circeo, une pièce chorégraphique tellurique et céleste. Huit danseurs virtuoses nous emportent dans leurs hypnotiques métamorphoses.
Circeo est cette montagne italienne mythique qui surplombe la mer Tyrrhénienne, où le héros Ulysse rencontra la sorcière Circé. Les sources de Fabrizio Favale puisent ici en trois lieux géographiques – le mont Circé, le massif sous-marin Vavilov voisin, le volcan glaciaire islandais Hekla. Et son inspiration réside en la figure de la divine ensorceleuse, fille d’Hélios et magicienne présidant aux mutations humaines par des incantations, poisons et potions. L’artiste conçoit une danse « non-chorégraphique et spatiale » interprétée par huit hommes puissants : un mouvement originel dont il ne resterait que l’élémentaire circularité, déclinée en sensuelles arabesques et sinuosités.
Le chorégraphe italien, remarqué avec Ossidiana lors de la Biennale de danse de Lyon 2016, ausculte ici les polarités de l’homme et du cosmos : vitesse et lenteur, nocturne et diurne, feu et glace. Depuis vingt ans, à Bologne et ailleurs, lui et ses « suppliants » (du nom de sa compagnie Le Supplici) explorent à travers la danse les motifs de l’univers, de sa poétique et de ses mystères. Découvrez-les.
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Circeo est cette montagne italienne mythique qui surplombe la mer Tyrrhénienne, où le héros Ulysse rencontra la sorcière Circé. Les sources de Fabrizio Favale puisent ici en trois lieux géographiques – le mont Circé, le massif sous-marin Vavilov voisin, le volcan glaciaire islandais Hekla. Et son inspiration réside en la figure de la divine ensorceleuse, fille d’Hélios et magicienne présidant aux mutations humaines par des incantations, poisons et potions. L’artiste conçoit une danse « non-chorégraphique et spatiale » interprétée par huit hommes puissants : un mouvement originel dont il ne resterait que l’élémentaire circularité, déclinée en sensuelles arabesques et sinuosités.
Le chorégraphe italien, remarqué avec Ossidiana lors de la Biennale de danse de Lyon 2016, ausculte ici les polarités de l’homme et du cosmos : vitesse et lenteur, nocturne et diurne, feu et glace. Depuis vingt ans, à Bologne et ailleurs, lui et ses « suppliants » (du nom de sa compagnie Le Supplici) explorent à travers la danse les motifs de l’univers, de sa poétique et de ses mystères. Découvrez-les.
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