PFIOU-PFIOU

Une vraie bouffée d'oxygène, les zygomatiques ne chôment pas A voir absolument

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Bonne pièce mais le début est un peu poussif. L’écriture aurait pu être plus précise pour emmener le spectateur plus rapidement ! On s’est bien amusé avec de beaux Délires… Dommage que la pièce n’ait pas démarré à 20h comme précisé !

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La pièce démarre sans crier gare comme un fondu cinématographique. On se demande qui est la blonde de dos, jusqu'à ce que l'on s'aperçoive que barbie est en fait ken. Les autres personnages débarquent sur la piste les uns après les autres, équipés de leur gros sabots et font leur numéro de claquettes. On ne sait pas trop où on a mis les pieds, si il faut s'affliger ou partir, mais on nous rappelle vite que l'on est pas venu à l'opéra et qu'il y aura comme au cirque un lâcher de colombes à la fin. Cascade de blagues, rouler-bouler, humour potache, prout-prout, pan-pan-cucul, blagues à papa, blagues racistes, calembours et jeux de mots, comique de répétition, de désynchronisation scénaristique, mesquineries et confidences au public, rire nerveux et situations gènantes, cynisme et jeu caricaturé, le ton est donné rapidement : vous ne riez pas? vous rirez après... Forcément, d'une manière ou d'une autre... Un peu comme si un matin, d'une voix sûre, on vous demandait en anglais, à vous, pas très réveillée de quelle façon vous aimez vos oeufs avec vos tartines de pain bien français. Dans l'ambiance familiale de la salle Garcin, on les regarde faire les cons et executer leurs excercices de style. Cette pièce a été jouée et surjouée, on rit tellement c'est nul, on rit parce que c'est drôle, affligeant et attendrissant à la fois. Et le talent du metteur en scène est là, justement : enmener sa petite troupe d'affreux chercher ses bonbons d'Halloween, ses mandarines de Noël.

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La pièce démarre sans crier gare comme un fondu cinématographique. On se demande qui est la blonde de dos, jusqu'à ce que l'on s'aperçoive que barbie est en fait ken. Les autres personnages débarquent sur la piste les uns après les autres, équipés de leur gros sabots et font leur numéro de claquettes. On ne sait pas trop où on a mis les pieds, si il faut s'affliger ou partir, mais on nous rappelle vite que l'on est pas venu à l'opéra et qu'il y aura comme au cirque un lâcher de colombes à la fin. Cascade de blagues, rouler-bouler, humour potache, prout-prout, pan-pan-cucul, blagues à papa, blagues racistes, calembours et jeux de mots, comique de répétition, de désynchronisation scénaristique, mesquineries et confidences au public, rire nerveux et situations gènantes, cynisme et jeu caricaturé, le ton est donné rapidement : vous ne riez pas? vous rirez après... Forcément, d'une manière ou d'une autre... Un peu comme si un matin, d'une voix sûre, on vous demandait en anglais, à vous, pas très réveillée de quelle façon vous aimez vos oeufs avec vos tartines de pain bien français. Dans l'ambiance familiale de la salle Garcin, on les regarde faire les cons et executer leurs excercices de style. Cette pièce a été jouée et surjouée, on rit tellement c'est nul, on rit parce que c'est drôle, affligeant et attendrissant à la fois. Et le talent du metteur en scène est là, justement : enmener sa petite troupe d'affreux chercher ses bonbons d'Halloween, ses mandarines de Noël.

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Légèreté et rires …une soirée placée sous le signe de la comédie 🎭 si vous avez besoin d’une dose de bonheur et de bonne humeur #pfioupfiou la pièce, je recommande sans hésiter !

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