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MUSEE DU QUAI BRANLY - JACQUES CHIRAC

| BILLET COLLECTIONS PERMANENTES ET EXPOSITIONS TEMPORAIRES

Informations

Présentation

Lieu culturel incontournable de la capitale, découvrez le musée du quai Branly - Jacques Chirac !

Le Pass Journée (= Billet Jumelé) vous permet de visiter l'ensemble des espaces du musée.

Plateau des collections : parcourez les expositions en mezzanines ainsi que l'exposition permanente et ses 3500 œuvres réparties par zones géographiques, Océanie, Asie, Afrique et Amériques. Le parcours suit une allée centrale conçue à l'image d’une rivière, illustrant à la fois l'originalité des civilisations et leurs contacts.

Galerie Jardin : découvrez les expositions en cours.

Kimono, du 22 novembre au 28 mai 2023
Attention il vous faudra réserver un créneau horaire à l'issue de votre commande

Vêtement emblématique et caractéristique de l’identité du Japon, le kimono est aujourd’hui une pièce incontournable de la mode. Des écoles de samouraïs aux podiums, des acteurs de kabuki aux stars de la pop internationale, pleins phares sur une tenue qui transcende les catégories et les frontières.

Apparu il y a plus de mille ans, le kimono – littéralement « ce qui se porte » - incarne aux yeux des Japonais la culture et la sensibilité nationales. C’est au début de l’ère Edo (1603-1868) qu’il devient l’habit traditionnel par excellence, porté par l’ensemble des Japonais, indépendamment de leur statut social ou de leur genre. Un âge d’or qui voit l’extraordinaire développement de sa production et la naissance d’une culture de la mode grâce à l’engouement du monde du spectacle. Célébrités et élégants de l’époque – acteurs de kabuki en tête – devenant alors les premières icônes de mode japonaises.

S’il atteint timidement les côtes européennes à la fin du 17e siècle, c’est dans les années 1850, avec l’ouverture du Japon au commerce extérieur, que le kimono s’exporte vers un Occident alors fasciné par son caractère exotique. L’enthousiasme soulevé par sa forme ou ses tissus transforme profondément et radicalement la mode du continent quelques décennies plus tard. Dépassant par la suite son statut de symbole, désavouant son caractère traditionnel et intemporel, il ne perdra rien de sa superbe entre les ciseaux des plus grands stylistes du monde entier (comme chez John Galliano ou Alexander McQueen) ou dans les rues de l’archipel, revisité de façon innovante et parfois subversive par de jeunes Japonais.

L’exposition conçue par le Victoria and Albert Museum de Londres revient sur cette histoire, celle d’une tenue emblématique, intimement liée à celle du Japon. Le kimono sous toutes ses coutures, ou le portrait d’un vêtement résolument moderne, à travers les siècles et les continents.

Senghor et les arts, Réinventer l’universel, du 7 février 23 au 12 novembre 2023

Portrait de l’écrivain, poète et homme d’État Léopold Sédar Senghor (1909-2001), à travers sa politique culturelle au lendemain de l’indépendance du Sénégal.

Senghor et les arts. Réinventer l’universel met en perspective les réflexions et réalisations dans le domaine culturel de l’intellectuel et homme d’État sénégalais, président du Sénégal de 1960 à 1980, Léopold Sédar Senghor (1909-2001). Pionnier de la Négritude, mouvement politique et littéraire initié avec Aimé Césaire, Léon-Gontran Damas, Suzanne Césaire, Jane et Paulette Nardal, Senghor a défendu l’idée d’une civilisation de l’universel, façonnée par le « rendez-vous du donner et du recevoir ». Sous cette métaphore de l’échange, du « métissage culturel », il manifeste l’espoir d’unir les traditions et d’engager « le dialogue des cultures ». En réinventant et en désoccidentalisant la notion d’universel, il affirme le rôle de l’Afrique dans l’écriture de son histoire.

L’exposition revient sur la politique et la diplomatie culturelle sénégalaise au lendemain de l’indépendance, ses réalisations majeures dans le domaine des arts plastiques et arts vivants, mais aussi ses limites. La pensée de Senghor n’a pas laissé indifférentes les générations nées au lendemain des indépendances ; elle a été largement discutée, critiquée et commentée au fil des relectures successives.

Ouvrir l’album du monde - Photographies (1842-1911), du 4 avril 23 au 2 juillet 2023

Plongée dans la photographie du 19e siècle, à l’aube de sa diffusion hors des frontières de l’Europe. Des trésors des collections photographiques du musée, enfin révélés !

De nombreux lieux dans le monde sont devenus accessibles par la photographie dès son invention, en 1839. Dès les années 1840, les chambres noires sont emportées sur les navires des expéditions officielles, scientifiques ou militaires, et franchissent les frontières de l’Europe. Du Mexique au Gabon, la caméra sert le goût de l’époque pour la description archéologique, géographique et la curiosité pour les modèles rencontrés. Dans la seconde moitié du 19ème siècle, la photographie est employée pour explorer tous les espaces du globe. Une soif d’images notamment nourrie par la conquête coloniale européenne.

Prenant comme point de départ la collection de photographies du musée du quai Branly - Jacques Chirac, enrichie par plusieurs prêts exceptionnels provenant de collections publiques et privées, l’exposition s’intéresse aux trajectoires et à la diffusion inégale de la photographie hors de l’Europe, au 19e siècle. À travers une sélection de photographies produites entre 1842 et 1911 en Asie, en Afrique, en Océanie et aux Amériques, elle cherche à mieux comprendre le développement et les différentes appropriations du médium dans le monde à l’échelle locale en mettant au jour des photographes, des commanditaires, des phénomènes ou des formes photographiques moins connus dans diverses régions du monde. Pour tenter de rééquilibrer une histoire de la photographie trop souvent centrée sur l’Europe et les États-Unis.

Songlines, Chant des pistes du désert australien, du 4 avril 23 au 2 juillet 2023

Immersion en plein cœur du monde aborigène. Songlines nous emmène à travers le désert australien sur la piste des Sept Sœurs, l’un des récits légendaires les plus populaires du pays.

Depuis des millénaires, la mémoire des populations aborigènes d’Australie se propage à travers les paroles des anciens, des histoires que l’on conte en peinture, en cérémonies et en chants. Transmises de génération en génération, ces songlines – littéralement « chants des pistes »* – guident les pas des Aborigènes à travers le territoire et tout au long de leur vie, comme une véritable carte. Bien plus que des récits légendaires, ce sont de véritables corridors de savoirs, des chemins tracés au fil des millénaires qui renferment les règles fondamentales de la cohabitation sociale, et des connaissances écologiques, astronomiques ou géographiques essentielles à la survie.

Construite en étroite collaboration avec les communautés, Songlines ne se contente pas de « donner à voir » des œuvres de création aborigène. À travers près de 200 pièces, créées par plus de 100 artistes, et une vingtaine de dispositifs immersifs (installations audiovisuelles, performances cérémonielles filmées, récits sonores…), l’exposition invite à faire l’expérience d’une perception aborigène du monde en suivant l’histoire de sept sœurs poursuivies par un puissant sorcier sur la terre et dans le ciel. L'une des épopées les plus populaires d'Australie que les aînés, véritables gardiens de la mémoire, ont choisi de nous confier.

*Traduction de Jacques Chabert pour le titre français de l’ouvrage The Songlines de Bruce Chatwin : Le Chant des pistes de Bruce Chatwin © Editions Grasset & Fasquelle, 1988

Anne Eisner (1911-1967) - Une artiste américaine au Congo, du 4 avril 23 au 3 septembre 2023

Hommage au parcours de l’artiste américaine Anne Eisner, à travers une sélection d’œuvres inspirées de son séjour au Congo et récemment acquises par le musée du quai Branly - Jacques Chirac.

En 1946, l’artiste américaine Anne Eisner (1911-1967) se rend pour la première fois en Afrique. Elle voyage aux côtés de son futur époux, Patrick Putnam (1904-1953).  Cet anthropologue de formation a établi au début des années 1930 un établissement hôtelier dénommé « camp Putnam » à Epulu, au nord-est de la colonie belge du Congo. C’est là que vit Anne Eisner pendant sept ans, dans le voisinage des sociétés pygmées Mbuti. Durant son séjour, elle apprend à mieux connaître la forêt équatoriale de l’Ituri et documente la vie de ses habitants.

Peintre depuis les années 1930, Anne Eisner est attentive aux développements de l’expressionisme abstrait américain. La découverte du continent africain et son installation au camp Putnam auront un impact saisissant sur son travail artistique. Contrainte de rentrer aux États-Unis en 1954 après la mort de son mari, l’artiste poursuit sa méditation picturale engagée au Congo, à l’orée de l’abstraction. Parallèlement à sa production artistique, elle tente d’apporter sa contribution à l’étude des populations autochtones de l’Ituri.  

A savoir :
- Le Pass journée est valable une journée pour un seul passage au contrôle. Vous choisissez une date de visite à titre indicatif. Votre billet est valable jusqu'à la fin de l'exposition choisie.
- Gratuit pour les jeunes de moins de 18 ans. Voir les autres conditions de gratuités et tarifs réduits auprès du musée.
- L’accès au collections permanentes et expositions temporaires est gratuit pour tous le premier dimanche de chaque mois.
- Ce billet donne accès au musée et ne permet pas de bénéficier d'autres prestations.

- Horaires d'ouverture :
Mardi, mercredi, vendredi, samedi, dimanche de 10h30 à 19h
Jeudi, de 10h30 à 22h 
Fermeture anticipée les 24 et 31 décembre 2020, à 18h au lieu de 22h (fermeture de la billetterie à 17h)

Conditions d'accès :
- Afin d'accéder au musée, vous devez impérativement présenter le code-barres présent sur le billet électronique qui vous sera envoyé par e-mail à l'issue de votre commande (billet imprimé ou sur votre mobile)
Votre billet est valable jusqu'au 19/01/2024

jusqu'à -18% et dès 11,5€

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Bon À Savoir

  • Gratuit pour tous le 1er dimanche du mois

MUSEE DU QUAI BRANLY - JACQUES CHIRAC - Avis des spectateurs (2)

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5

Aller au Musée du Quai Branly, c'est découvrir le monde à travers la splendeur de la création. Que ce soit pour le religieux ou pour le quotidien, les hommes ont mis à profit les ressources naturelles de leur environnement afin d'en faire ressortir le beau : sculptures en bois, coiffes en plumes, bijoux en métal, pierres sculptées, vanneries proviennent d'Asie, d'Afrique ou d'Océanie et ne peuvent que ravir nos yeux émerveillés. Il y a toujours des expositions temporaires à visiter en même temps sans oublier le jardin.

criccraccroc - 04/10/2021

4

Billets muse quai branly , Le musée est magnifique nous avons pu profiter de cette visite à un prix intéressant

Laurence - 17/11/2019

métro 9 : Alma-Marceau – 8 : Ecole militaire – 6 : Bir Hakeim RER C : Pont de l’Alma bus 42 : Tour Eiffel – 63, 80, 92 : Bosquet Rapp – 72 : Musée d'Art Moderne-Palais de Tokyo - 82 : Varsovie - 87 : Rapp-La Bourdonnais - 69 : Champ de Mars Batobus Tour Eiffel

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