LE DERNIER CÈDRE DU LIBAN

Une pièce sublime, qui prend aux tripes, et ça fait du bien. On ressort changé, et ça fait réfléchir. Tout est tellement ancré dans notre triste actualité...

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Une pièce magistrale qui mérite d'être vue, revue et re-revue. Chapeau aux artistes et aux auteurs pour cette pépite!

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Après Les poupées persanes, pièce bouleversante qui avait littéralement propulsé Aïda Asgharzadeh, a poussé Le dernier cèdre du Liban. Quelques similitudes, avec un texte qui aborde le thème des racines, de la parenté, de la vie entre le Liban et la France, tout en faisant une proposition différente, dans une ambiance plus lourde qui appelle à la concentration. Car effectivement, le scénario est d'une puissance folle, mise en scène par Nikola Carton et incarnée à la perfection par Magali Genoud, femme de poigne et reporter de guerre, Azeddine Benamara, notamment éducateur dans un centre pour mineurs, ou encore Maëlis Adalle, adolescente torturée non seulement par son âge mais aussi et surtout par son parcours de vie dont elle ne connaît même pas le point de départ. Du moins jusqu'à l'émergence à la fois d'un notaire et d'une boîte contenant des bandes-son. Dessus, la voix de sa mère, qu'elle découvre enfin, une fois que tout est trop tard. Et qui va lui permettre d'apprendre qui elle est, avant qu'il soit trop tard. Une fiction qui sonne juste, pas dans l'à-peu-près mais dans le parler-vrai, qu'il est bon d'écouter et de répandre, en plantant de petites graines qui, après l'état de pousses, finiront peut-être en un majestueux cèdre.

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Quelle merveilleuse pièce ! Touchante, poignante, portée par 3 comédiens époustouflants. Je n'ai pas pu contenir mes larmes et mes yeux brillaient toute la fin de la pièce. C'est pour ces émotions indescriptibles que j'aime le théâtre ! Merci

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Pièce extrêmement bien.jouee, avec des acteurs exceptionnels..Nous sommes tenus en alerte jusqu au bout= aucun temps pour piquer du nez, regarder son téléphone ou sa montre, on est happés.... belle découverte.. bravo aux 3 artistes.

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