Mesdames et Messieurs, préparez-vous à plonger dans une enquête théâtrale aussi pétillante qu'un soda secoué : Sherlock Holmes et l'Aventure du Diamant Bleu ! Ici, notre célèbre détective n'affronte pas seulement des criminels, mais aussi une distribution qui jongle avec plus de rôles qu'un acteur au chômage sur LinkedIn. Trois comédiens, dix personnages, et une dinde ! Oui, une dinde ! Et cette fois, ce n'est pas le Dr Watson.
Christophe Delort nous livre une adaptation où Sherlock manie la déduction comme un chef cuistot manie la louche : avec un certain panache et, parfois, un peu de sauce sur la cravate. L'intrigue ? Un diamant bleu disparu, des suspects qui défilent plus vite qu’un marathon de speed dating, et Holmes qui, entre deux réflexions brillantes, se demande si c’était vraiment une bonne idée d’accepter une affaire où le coupable pourrait être un volatile rôti.
L'interactivité est de mise : le public devient lui-même détective ! Enfin, détective… disons plutôt consultant involontaire qui se retrouve à soupçonner tout le monde, y compris les meubles de la scène. C'est participatif, c'est délirant, et ça finit par vous donner envie d’arborer une moustache et de dire « Élémentaire, mon cher Watson » à tout bout de champ.
Bref, une pièce où l’absurde côtoie le génie, où l’humour dégouline plus que le miel sur un toast, et où vous ressortirez avec une seule certitude : un diamant, ça peut faire mal, surtout quand c’est une farce.
Alors, qu’attendez-vous ?
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