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JOHANN SEBASTIAN BACH (1685-1750)

Cantates I « Le chemin d’Emmaüs »

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Présentation

Distribution :
NN Soprano
NN Alto
Jonathan Hanley Ténor
Alex Ashworth Basse

The Constellation Choir and Orchestra
John Eliot Gardiner Direction

Programme :
Michael Prætorius (1571-1621)
Motet Wie schön leuchtet

Johann Sebastian Bach (1685-1750)
Wie schön leuchtet der Morgenstern, BWV 1

Johann Hermann Schein (1586-1630)
Motet Ich bin die Wurzel

Johann Sebastian Bach
Ich will den Kreuzstab gerne tragen, BWV 56

Entracte

Heinrich Schütz (1585-1672)
Motet Ich bin eine rufende Stimme

Johann Sebastian Bach
Bleib bei uns, denn es will Abend werden, BWV 6

Heinrich Schütz
Motet Ich bin ein rechter Weinstock

Johann Sebastian Bach
Es erhub sich ein Streit, BWV 19

Durée : 2h entracte inclus
Première partie : 50 minutes
Entracte
Deuxième partie : 50 minutes

Les Bachfest de Leipzig ont proposé à leurs spectateurs de choisir les œuvres pour deux programmes de cantates de Bach, remplis de chefs-d’œuvre : John Eliot Gardiner a suivi les attentes du public en composant deux programmes d’après ces recommandations.

Ce premier programme propose un dialogue lumineux entre la tradition du motet allemand du XVIIe siècle et l’art magistral de Johann Sebastian Bach, figure tutélaire de la musique baroque.

Le motet Wie schön leuchtet de Michael Prætorius ouvre la soirée sur une exclamation de joie : celle de la lumière divine personnifiée par l’étoile du matin. Cette image, poétique et mystique, trouvera un écho éclatant dans la Cantate BWV 1 de Bach, construite sur le même choral luthérien. L’écriture foisonnante de Bach y magnifie le texte avec faste et profondeur, annonçant le ton de cette méditation musicale.

Avec Ich bin die Wurzel de Johann Hermann Schein, on en revient à une forme plus dépouillée, ancrée dans la rhétorique sacrée. L’œuvre illustre l'art du motet germanique, où la polyphonie au service du verbe exprime une vérité spirituelle incarnée.

La cantate Ich will den Kreuzstab gerne tragen, l’une des rares cantates pour voix soliste de Bach, marque un moment d’introspection profonde : l’acceptation de la souffrance terrestre comme passage vers la paix éternelle. L’écriture y est poignante, presque opératique, dans son expressivité.

La seconde partie s’ouvre avec un autre maître du motet allemand : Heinrich Schütz. Son Ich bin eine rufende Stimme incarne l’appel du prophète dans le désert, annonçant la venue du Christ. La langue musicale y est directe, mais empreinte de ferveur.

Avec la cantate Bleib bei uns, denn es will Abend werden, Bach capte l’angoisse du crépuscule – spirituel autant que terrestre. Cette œuvre d’une tendresse saisissante nous plonge dans l’intimité du croyant implorant la présence divine face à la nuit qui tombe.

Le motet Ich bin ein rechter Weinstock de Schütz rappelle, avec douceur et clarté, l’image biblique du Christ vigne, source de vie et de fécondité spirituelle.

Enfin, Es erhub sich ein Streit vient clore ce programme sur une fresque triomphale : la lutte cosmique entre le Bien et le Mal, dans un langage musical exaltant, jubilatoire, presque céleste.

Ce parcours musical, porté par l’excellence du Constellation Choir and Orchestra sous la direction inspirée de John Eliot Gardiner, met en lumière le souffle théologique et artistique qui traverse plus d’un siècle de musique sacrée allemande.

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Depuis la gare de Paris Montparnasse, les trains SNCF arrivent en gare de Versailles Chantiers, 18 minutes à pied pour se rendre au Château.

Depuis la gare de Paris Saint Lazare, les trains SNCF arrivent en gare de Versailles Rive Droite, 17 minutes à pied pour se rendre au Château.

BUS :
Le bus 171 de la RATP effectue son circuit entre le Pont de Sèvres (terminus de la ligne 9 du Métro) et le château de Versailles en 30 minutes sans circulation.

Parking :
 Vous avez la possibilité de garer votre véhicule sur le parking de la Place d’Armes, devant le château (dans la limite des places disponibles). - Ce parking est payant en journée et souvent saturé. - Toutefois, le stationnement est offert les soirs de spectacle, mais seulement à partir de 19h. En conséquence, les heures de stationnement effectuées avant 19h restent payantes

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