JE DISPARAIS

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Présentation

"Qu’ai-je à faire du reste du monde ?" À 43 ans, Arne Lygre est l’auteur de sept pièces déjà traduites et jouées en plusieurs langues ; il a également publié deux romans et un recueil de nouvelles. Les personnages centraux de Je disparais, Moi et Mon amie, sont deux femmes qui doivent quitter précipitamment leur pays. De cet arrière-plan politique, on saura peu de choses. Car le sujet de prédilection de Lygre, c’est la fragilité du Moi qu’on se construit – précaire, miné par des souvenirs enfouis, hanté par d’autres vies possibles. Émigrer, ici, ce n’est pas seulement quitter la vie confortable, la maison, mais être jeté hors de ses repères, hors de soi. Alors, pour parer à ce qui les menace, tout au long de leur fuite, Moi et Mon amie s’inventent d’étranges jeux de rôles. L’écriture ludique et prenante d’Arne Lygre intrigue jusqu’au vertige les situations urgentes qu’elles traversent et leurs scénarios fantasmatiques. À quoi leur sert de se projeter dans d’autres vies ? S’agit-il pour elles de se réapproprier leur réalité ? De conjurer la disparition ? Dans la détresse, à quoi sert l’imaginaire ? C’est aussi parce qu’elle pose ces questions – de vie et de théâtre – que Stéphane Braunschweig a choisi cette pièce bouleversante. Et fascinante.
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JE DISPARAIS - Avis presse

Deux femmes, obligées de s'exiler, imaginent de multiples fictions, souvent des situations extrêmes, pour conjurer leur peur et exorciser la violence qui les habite. Annie Mercier, magnifique de force et de vie, et Luce Mouchel, plus sensible et fragile, donnent corps à ces deux personnages. Viennent aussi sur scène la fille (Pauline Lorillard), le mari (Alain Libolt), une étrangère (Irina Dalle). En faisant découvrir en France l'auteur norvégien Arne Lygre, Stéphane Braunschweig affirme le pouvoir de résistance du rêve et met en scène, dans une scénographie abstraite à géométrie variable, intelligente et brillante, cet opus qui tient de la musique de chambre. Mais ce formalisme ne permet pas de saisir le cœur sensible de cette pièce, qui reste énigmatique. <b>Sylviane Bernard-Gresh</b>
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