Ticketac en parle
Entre danse et théâtre, dialogues et mouvements, découvrez la toute nouvelle création théâtrale et chorégraphique de Jacques Gamblin et Bastien Lefèvre, en collaboration exquise sur la scène du Centquatre. Dans 1 heure 23’ 14’’ et 7 centièmes, le corps dirige la tête, faire de l'exercice devient un leitmotiv, un impératif et le sport révèle les passions. A voir !
1 heure 23’ 14’’ et 7 centièmes
Une rencontre entre deux hommes animés par des passions communes : la dépense physique, le besoin de se surpasser, d'agir, d'être en action... Et la recherche évidente de l'amour et du succès ! Si l'entraîneur (Jacques Gamblin) dirige, encourage, sermonne, exige de la rigueur, l'autre, l'athlète (l'excellent Bastien Lefèvre), exécute, se dépense, puise dans ses ressources, se rebelle parfois même si l'appel de l'exploit et l'admiration pour son "maître" lui permettent de repousser ses limites.
Pour leur nouvelle collaboration sur scène, Jacques Gamblin et Bastien Lefèvre proposent au Centquatre un spectacle mettant le sport de haut niveau à l'honneur en évoquant non seulement l'aspect physique, mais également toute la pression et l'enjeu du mental. La verve de Jacques Gamblin se mêle avec harmonie à la douceur des mouvements du danseur Bastien Lefèvre pour créer un véritable univers de justesse et de précision. Un mélange entre le théâtre et la danse qui sonne comme une évidence, d'autant plus que les deux compères s'étaient déjà retrouvés ensemble, sur les planches, en 2010 au Théatre du Rond Point dans le sublime et poétique Tout est normal mon coeur scintille.
Jacques Gamblin, comédien d'exception
Avec 1 heure 23’ 14’’ et 7 centièmes, le Centquatre accueille une création artistique et sportive unique en son genre. On y découvre une nouvelle facette de Jacques Gamblin, comédien émérite, dont l'immense carrière au cinéma a su mettre en exergue son talent d'interprétation aux côtés des plus grands réalisateurs du cinéma français. On se souvient notamment de sa prestation magistrale et touchante dans Les enfants du marais de Jean Becker, avec Jacques Villeret, André Dussollier et Michel Serrault en 1999. Au théâtre, le comédien étonne, surprend, éblouit en homme-orchestre de génie qui mêle, dans un concert exceptionnel, le blues, le funk et le groove... Dans Ce que le djazz fait à ma djambe, présenté en octobre dernier au Théâtre du Rond Point, Jacques Gamblin s'était entouré, entre autre, de Laurent de Wilde à la contrebasse, Jérôme Regard à la batterie et Donald Kontomanou à la trompette. On lui connaît également des nominations aux Molières, en 2000, pour Raisons de famille, de Gérald Aubert puis pour Confidences trop intimes, en 2007, sur une mise en scène parfaite de Patrice Leconte au Théâtre de l'Atelier.
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