Le théâtre, c’est bien. Les sketches, c’est bien aussi ! On est comme Joséphine Baker : on a deux amours. Oscillant de l’un aux autres, indifféremment, avec le même plaisir, pourvu qu’on en donne au public !
Vous reprendrez bien quelques sketches ?
Pour ceux qui aiment la nouveauté : des anciens sketches.
Et pour les habitués, des sketches nouveaux
Le théâtre, c’est bien. Les sketches, c’est bien aussi ! On est comme Joséphine Baker : on a deux amours. Oscillant de l’un aux autres, indifféremment, avec le même plaisir, pourvu qu’on en donne au public !
C’est d’ailleurs ce dernier qui dicte notre conduite. Quand on joue une pièce, à la fin, dans les loges ou dehors, il nous dit : « Alors, quand est-ce que vous nous refaites des sketches ? » Quand on vient de jouer notre two men show, les mêmes entonnent : « Oh, il faudrait que vous nous refassiez une bonne pièce !… »
Comme ils ne sont jamais contents mais toujours heureux, on obtempère. Pour cette rentrée de janvier, ce sera le « Music-hall ! » Les sketches ! Mais là aussi, dilemme : faut-y de l’ancien avec quelques nouveautés, de l’inédit et du jamais vu avec quelques déjà réputés, ou un subtil panachage… ? Ah ! Ce public ! On pourrait aussi faire une « relecture » de quelques éléments… ? Sous prétexte que le monde a changé… ? (S’il avait changé, ça se saurait.) On pourrait aussi parler de nous, plus intimement qu’on ne l’a fait jusqu’ici, c’est très à la mode : « Je suis né à Marmande, ma mère était coiffeuse et j’avais un grand oncle qui avait très mauvaise haleine… Mais on rigolait bien à Noël ! »
On pourrait, on pourrait… Oh, et puis… Vous verrez bien. C’ est vous qui voyez.
Retrouvez Chevallier et Laspales à l'Olympia en avril 2015:
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Le duo complice raille ses contemporains qui en redemandent !
Les humoristes Philippe Chevallier et Régis Laspalès forment un duo pince-sans-rire depuis plus de 35 ans ! Prix d’humour de la SACEM en 1999, ils écrivent leurs sketches à quatre mains et les distillent avec une complicité sans faille dans leur "two-man-show". Après des passages télévisuels remarqués au Petit Théâtre de Bouvard dans les années 1980, leur spectacle C’est vous qui voyez ! devient une réplique culte. Le vaudeville Ma femme s’appelle Maurice adapté au cinéma et la publicité pour la Matmut (dont les bénéfices sont reversés à des associations caritatives) leur assurent une belle popularité.
Et la recette marche : prendre le public à rebrousse-poil dans un esprit bon enfant.
Ils s’autorisent quelques apartés entre leurs numéros de faux frères ennemis : Laspalès choisit le septième art et les planches tandis que Chevallier expose ses photos. Ils se retrouvent au cinéma et, en 2013, à l’affiche de la pièce mythique Le Dîner de cons. De nouveau sur les routes de France depuis 2015 avec Vous reprendrez bien quelques sketches, ils seront au Palais des Sports pour deux représentations exceptionnelles.