C'EST PAS FACILE D'ÊTRE HEUREUX QUAND ON VA MAL

J’ai littéralement souffert pendant presque deux heures. C’est une pièce qui parle d’histoire plus communes les unes que les autres, comme on envoie d’état dans le monde entier, un couple qui ne s’aime plus, un couple gay, une fille qui a un cancer, peut-être quatre blagues marrantes. Les acteurs joue très bien, ce n’est pas le problème, mais l’histoire est catastrophique et c’est interminable. Si vous souhaitez passer une soirée divertissante, je ne recommande pas du tout.

0 j'aime

Moi je n’ai pas aimé mais mon mari oui… Belle mise en scène Il faut aimer l’humour acide

0 j'aime

Pièce surprenante et empreinte de réalisme. On est captivé du début à la fin par le texte et les acteurs qui sont merveilleux. Il y a de l’humour, du sarcasme, et beaucoup, beaucoup d’émotions. A voir .

0 j'aime

Très bonne pièce, très drôle et original, je recommande vivement nous étions un groupe de 4 et nous avons adoré

0 j'aime

Je vais bien, tout va bien, je suis gai, tout me plaît... L'amour, c'est le sujet universel par excellence, celui qui fera éternellement couler de l'encre mais aussi de la salive, ne serait-ce qu'à travers de langoureux baisers... Et souvent, derrière l'amour, il y a un couple. Des couples. Toutes sortes de couples. En retraçant des histoires parallèles et des destins croisés, l'ambition de Rudy Milstein (au texte, à la mise en scène et au jeu) est de dresser une fresque de configurations présumées existantes : grinçantes, grisantes, savoureuses et drôles. Ces frasques sont servies sur un plateau d'argent par des comédiens caméléons, Nicolas Lumbreras en tête, qui se voient jouer au yoyo avec leurs émotions. Parfois tendres, à d'autres moments cruels, ils se font balader dans leur propre vie et ont souvent déjà perdu le nord lorsqu'ils se rendent enfin compte que leur boussole est déréglée. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? L'avancée parfois à reculons des personnages est tordante sauf... quand on se reconnaît dans l'un des passages, ce qui est statistiquement fort probable. Reste alors la satisfaction, à long terme, de savoir qu'on n'est pas seul dans ce cas ; à court terme, d'avoir passé une formidable soirée. Et cette soirée sans fin dure depuis 2024, année où deux Molières leur ont été décernés, pour la meilleure comédie et le meilleur auteur

0 j'aime