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ONÉGUINE
John Cranko
Informations
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Durée
2 heures 20 minutes
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Adresse
PALAIS GARNIER
Paris 75002 Localiser ce lieu
Ce spectacle n’est plus disponible
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Durée
2 heures 20 minutes
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Adresse
PALAIS GARNIER
Paris 75002 Localiser ce lieu
Ce spectacle n’est plus disponible
Présentation
Du roman en vers de Pouchkine, Eugène Onéguine, œuvre phare de la littérature russe du XIXe siècle, John Cranko a trouvé matière à un ballet articulé autour de cinq personnages : le poète Lenski, fiancé de la douce Olga, Tatiana, sa sœur aînée, amoureuse du dandy Onéguine, qui la néglige avant de comprendre, bien trop tard, quand elle a épousé le prince Grémine, qu’il est passé à côté de sa vie.
Si le chorégraphe ne s’attarde pas sur la dimension sociale de l’œuvre de Pouchkine, il en restitue la fluidité et la poésie à travers une écriture néoclassique d’une virtuosité impressionnante.
Créé en 1965 sur des musiques de Tchaïkovski, ce ballet est entré au répertoire de l’Opéra national de Paris en 2009. De la maison de campagne des deux sœurs à la salle de bal du prince Grémine, il traduit avec une grande acuité psychologique les espoirs juvéniles et le désabusement, les occasions perdues et la morsure du remords.
Durée : 2h20 avec 2 entractes
Distribution :
John Cranko Chorégraphie
Piotr Ilyitch Tchaïkovski Musique
John Cranko Livret
Vello Pähn Direction musicale
John Cranko Mise en scène
Jürgen Rose Décors
Steen Bjarke Lumières
Les Étoiles, les Premières Danseuses, les Premiers Danseurs et le Corps de Ballet de l’Opéra
Orchestre de l’Opéra national de Paris
A savoir :
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Photos & Vidéos
ONÉGUINE - Avis des spectateurs (3)
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Décevant... Cet Eugne Oneguin revu par Brauschweig est visiblement un produit post covid avec ses blancs hôpitaux (ah ces chaises si peu musicales !) et ses paysannes habillées en infirmières. Certes quel meilleur théâtre que le russe pour nous parler du confinement ?! Mais là ça tape à côté car il y manque cette passion absolue qui fait de la littérature russe, un des piliers de l'art européen. Bref, on comprend que c'est raté quand au premier acte Tatiana vit son coup de foudre en tournant résolument le dos à Oneguin... Et le reste est à l'avenant, y compris ce bunker qui monte de scène à trois reprises, servant de chambre/mémoire à l'héroïne. Raté également le "suicide" de Lenski - on ne voit pas pourquoi son ami tire sur un adversaire baissant son arme ... Alors qu'est-ce qui fait qu'on ne part pas ? La musique bien sûr, splendide et saisissante avec son thème repris de multiple façons, et ses envolées de bals - oui de bals. Quel dommage d'ailleurs que cette ridicule salle de jeu au troisième acte sur la sublime polonaise qui doit nous dire elle aussi cette passion infinie qui dévore les cœurs, les corps et les âmes ! Les âmes surtout. Ce que semblent en revanche avoir bien pressenti les musiciens sous la conduite énergique de leur cheffe toute entière dans sa partition, conduite énergique, et passionnée elle.
Quel spectacle sublime, à tout point de vue : musique, chant, mise en scène, danse, décors. Un vrai bonheur qui nous remet le moral d'aplomb. Bravoooooo !
ONÉGUINE - Avis presse
ATLANTICO
Métro :
Opéra (lignes 3, 7 et 8), Chaussée d’Antin (lignes 7 et 9), Madeleine (lignes 8 et 14), Auber (RER A)
Bus :
20, 21, 27, 29, 32, 45, 52, 66, 68, 95, N15, N16
Parking :
Q-Park Edouard VII - 16, rue Bruno Coquatrix 75009 Paris
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